Le bar ardent

Le bar ardent est une taverne qui se situe sur la grande place et qui a comme spécialité de mettre des cendres du Volcan dans l'alcool qu'il vend ce qui à pour effet de donné un gout amer à l'alcool mais renforçant le taux d'alcool ce qui rend saoul plus vite , et cette cendre spécial à une effet addictif ce qui donne une sensation que quand on bois l'alcool de ce bar , on a l'impression de boire les meilleurs alcools.

Ah, toutes ces flammes, ces rocs en fusion, cette lave, cette chaleur, que c'était bon ! Décidément, Sören aimait ce pays de feu, auquel il se sentait affilié. Le voisinage du grand volcan, bien qu'endormi, avait en effet tendance à augmenter ses pouvoirs, à l'emplir d'une force impétueuse qu'il ne se connaissait pas. C'était là une véritable jouissance solitaire, aussi n'avait-il pas pris la fuite, après avoir détruit intégralement la cuisine de l'empereur Nazo, à l'intérieur de laquelle il se livrait au pillage. C'était un accident, évidemment... Il n'était pas accoutumé à côtoyer son élément d'aussi près, alors, il n'avait rien su maîtriser du tout. Au lieu de mettre le feu à un torchon situé près de la cheminée, pour éloigner un cuisinier du morceau de foie qu'il était occupé à découper, il avait amplifié les flammes du foyer, qui avaient, en un instant, dévoré le tout. C'étaient là des choses qui arrivaient !

Le chat s'était donc faufilé hors du château en toute tranquillité, un poussant de temps à autres un miaulement plaintif qui l'innocentait d'office. Il pris même le temps d'errer dans les environs, avant de pénétrer dans une taverne. Il avança d'un pas souple et silencieux, sans la moindre hâte, à-travers le bâtiment, et se hissa jusqu'à une extrémité du comptoir, de deux sauts à peine perceptibles. Il s'y roula en boule, prenant bien soin de ramener sa queue entre ses pattes. Ses yeux de braise fixaient l'assemblée (constituée d'une bande de démons plus difformes et débiles les uns que les autres), tandis qu'il prenait son air de félin endormi.
Cependant, facétieux comme il était, il ne faisait qu'attendre un simple signal pour se redresser, et intervenir dans un conflit, ou terrifier un voyageur égaré.

[Hrp : Nazo, tu me feras penser à te corriger comme au bon vieux temps :p]

Cela doit maintenant faire une semaine que le seigneur des ténèbres ne donne plus aucunes nouvelle de lui , car dans l'ombre il se prépara à rencontrer Noaeryl le chef du bien suprême , il s'entraîna donc a appaufiné sa technique de Littérature du Chaos , sur ces larbins qui maintenant sont brulés à vie ces marques leurs rappelleront tout leurs vies leurs appartenant au seigneur Nazo.
C'est donc après cette entrainement et sa méditation de sept jour que Nazo décida d'aller dans cette taverne pour rencontrer du monde , car la cuisine royal est absolument bonne mais il s'y ennuie terriblement quand son ami Ghahuba n'est pas là à faire n'importe quoi , ou à pété des câbles sur le premier larbin qui lui sert mal sa nourriture.

Lors qu'il arrive dans le bar il remarque deux silhouette , une qui lui parait familière celle d'une personne sous une capuche et une longue barbe , et celle d'un chat qui est assez bizarre car les chats normaux ne supporte pas la chaleur ambiante du volcan , Nazo n'avait pas encore fait un pas que tout de suite les guerriers démoniaques s'empressa d'aller saluer leurs seigneurs et le regarda droit dans les yeux le coeur remplît de dévotion , tout ceci est du aux pouvoirs des yeux de Nazo qui séduit n'importe qu'elle être à l'âme obscurs , Nazo fît disposer ces soldats et leurs offrît une tournée général , puis se rapprocha de ces deux silhouette , c'est alors qu'il reconnu Firiadel l'un de ces amis les plus dévoués à tel point que Nazo le nomma à la succession sur l'archipel de Pancras

-Firiadel mon ami ! Comment vas-tu c'est assez rare de te voir par ici , pourquoi n'es tu pas passé dans mes appartement , et peux tu me dire qui cette créature à coté de toi ? Elle est différente des autres chats je le sens quand je la regarde , elle utilise un pouvoir maléfique mais elle ne l'ai pas pour autant.

[HRP] : Désolé du retard mais Nazo est là !

[Hrp: je crois que vous l'avez compris, mais je précise au cas où : Sören est un grand chat (40 cm à l'épaule).]

Sören commençait à songer qu'il était temps de s'échapper. Il avait mis le bar sens-dessus-dessous, avait traîné dans la poussière le nom du seigneur des ténèbres et de son serviteur préféré, ce qui commençait à faire beaucoup en l'espace de dix minutes.
Et puis, bien que très confiant en ses pouvoirs, il aimait mieux ne pas trop chercher la bagarre. Ce n'était pas vraiment le plus drôle, et puis, l'idée de blesser des gens avait malgré tout tendance à le rebuter. A quoi bon ? Tout ce qu'il voulait, dans le fond, c'était s'amuser, en remettant les vaniteux à leur place, et en levant le voile sur les faiblesses de ceux qui se croyaient forts. La toute-puissance, l'élémentaire avait bien conscience qu'il ne s'agissait que d'un sombre sentiment, hautement pervers, qui engendrait chez certains la curieuse tendance à se croire supérieur.
Le chat maintint son sourire. Oui, il le connaissait fort bien, ce sentiment. Mais il savait dans le fond que sa prétendue supériorité venait avant tout de sa différence, et, par conséquent, du recul immédiat qu'il était capable de prendre sur les choses.
Recul dont manquaient sérieusement ses deux marionnettes, qui fulminaient à s'en faire griller la cervelle. Nazo pointait une épée dans sa direction, en proférant des paroles de menace. Il devait sans doute se trouver très imposant. Mais le chat éclata de rire, et plongea son regard dans le sien.

-Petit seigneur, non, tu ne me mangeras pas !
Il te faudrait une broche, pour m'empaler vivant,
Il te faudrait des sauces, pour aimer mes abats,
De l'ail et des oignons, pour mettre entre mes dents !

J'ai brûlé tes fourneaux, tes épices et ton chef,
Gredin tueur de chats, futur déchu sans fief !

Mais Sören fût interrompu par un événement qu'il n'avait absolument pas prévu : une force magique s'empara de lui avec brutalité, et l'envoya rouler au sol. Bien que désemparé, car ignorant tout de la télékinésie, il se fia à ses réflexes félins, qui amortirent la chute. Cependant, le réel problème allait venir de Firiadel, qui semblait bien décidé à lui briser les côtes d'un violent coup de pied vertical. Le chat eut à peine le temps de prendre appui sur deux de ses pattes, pour se décaler de quelques centimètres... Ce qui ne l'empêcha pas de recevoir une partie du choc. Il ferma les yeux pendant un bref moment : quelque chose en lui venait de se briser. Sans doute une côte, mais il était loin d'être un spécialiste en anatomie... Tout ce qu'il savait, c'était que cela faisait mal, coupait un peu le souffle, et rendait ses mouvements moins fluides. Mais il savait également qu'il ne s'agissait pas de faiblir, à présent. En position de force malgré son état, le gouverneur le sous-estimait.
Il s'était d'ailleurs détourné, pour le laisser aux mains des deux seuls démons qui ne s'étaient pas montrés assez dégourdis pour attraper une couverture ou un seau, et éteindre les flammes.
Alerte, Sören bondit sur ses pattes. Il savait qu'il n'avait que peu de temps pour agir. Deux boules de feu jaillirent de son corps igné, et vinrent s'écraser sur le parquet, qui s'enflamma... juste au moment où les démons y posaient le pied. Le tout se passa en une fraction de seconde. Comme il l'avait fait précédemment, l'élémentaire prit le contrôle des nouvelles sources de feu, et en fit deux véritables brasiers, qui engloutirent les monstres.

Le chat crut sentir le regard de Firiadel dans son dos, mais il ne prit pas le temps de lui faire de nouveau face : il ne cherchait pas la guerre, et, avec ce genre de types, il devinait que toute lutte se devait d'être sérieuse. Hors de question de jouer sa liberté sur une plaisanterie. Il y avait encore matière à tenir quelques vers moqueurs, mais mieux valait les oublier, et pouvoir en recréer dans un autre contexte !
Aussi le chat s'efforça-t-il d'attiser de nouveau le feu, érigeant de véritables murs de flammes sur son passage, coupant toute possibilité de poursuite. Il allait vider ses forces à ce petit jeu, mais cela, au moins, ça se regagnait après une bonne sieste au soleil.