Poémes et art littéraires
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Poémes et art littéraires
Eh bien...postez vos nouvelles,poèmes et autres...Que dire de plus.
Bien que j'adore Baudelaire,rien sur le sexe ni autre choses tendancieuses... des pikachus peuvent regarder :p (j'accepte le sensuel cependant...tant que a vire pas dans le porno ça me va).
Bien que j'adore Baudelaire,rien sur le sexe ni autre choses tendancieuses... des pikachus peuvent regarder :p (j'accepte le sensuel cependant...tant que a vire pas dans le porno ça me va).
Re: Poémes et art littéraires
Bon, je me permet d'inaugurer. J'espère que je respecte les règles (je pense que oui)
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L'horloge tourne, les minutes passent à une vitesse incroyables. Je vois un train, des passants, des automobiles en tout genres. L'escalier est infini mais je ne sens rien. Les fenêtres sont grandes, le ciel est gris. Je vois une porte entrouverte, donnant sur un bureau. Une dispute assez violente entre deux hommes. L'un d'eux ressemble à un mafioso. Il a pas l'air net.
Suite :
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L'horloge tourne, les minutes passent à une vitesse incroyables. Je vois un train, des passants, des automobiles en tout genres. L'escalier est infini mais je ne sens rien. Les fenêtres sont grandes, le ciel est gris. Je vois une porte entrouverte, donnant sur un bureau. Une dispute assez violente entre deux hommes. L'un d'eux ressemble à un mafioso. Il a pas l'air net.
Suite :
- Spoiler:
- Je vois ensuite une autre porte ouverte, donnant sur une grande salle qui semble être une salle de réunion. La pendule affiche 10h.
J'entends des «Joyeux anniversaire». Ces voix viennent du mur de droite. Adossé contre celui ci, l'homme que j'aime. Mon premier et seul amour avec qui je vis depuis plus de 3 ans. C'est son anniversaire. Je vois le calendrier, il affiche le 7 octobre. Il est rayonnant. Son sourire éclatant comme toujours. Deux autres personnes sont là, surement des collègues. Ils sont autour de lui, ils discutent. J'entends une sonnerie de portable, un rire fort puis un homme qui se joint à eux. Cet homme qui se disputait un moment avant dans le bureau d'à côté avec l'homme qui ressemblait à un mafioso.
Une deuxième sonnerie de portable, identique à la première. Cet homme que j'avais qualifié de mafioso apparait à la porte. Il a l'air énervé, il hurle «Connard ! Je vais te tuer !» . Le concerné qui est arrivé il y a peu se retourne. L'homme à la porte sort une arme. Un coup de feu retentit. Un impact au sol, un «merde» puis l'homme qui s'enfuit. Et là, je le vois. Mon amour allongé sur le sol, une balle dans le ventre, inerte. Les trois autres hommes autour, paniqués. Je ne peux pas bouger, je veux aller le voir mais je n'y arrive pas. Je m'entends crier son prénom «Sang Hyeon ! ». Puis, plus rien.
Je me retrouve dans mon lit, je viens de me réveiller en sursaut. Alors c'était un rêve ? Je regarde le réveil, 7 octobre, 9h40. Il est déjà parti. Paniqué, je prend mon téléphone et l'appelle.
T- Oui ?
?- N'y va pas ! Reviens maintenant, reviens, ne rentre pas dans cette salle !
T- Qu'est ce que tu racontes mon ange ? J'y suis déjà.
?- Reviens je t'en pris ! Sors de là !
T- Qu'est ce qu'il y a ? Il t'est arrivé quelque chose ?
?- Non je vais bien je veux juste que tu reviennes tout de suite.
T- Écoute mon chéri, je suis au travail, on se voit ce soir. Je t'aime.
Il raccroche. Je panique totalement. Le temps d'enfiler un pantalon et un t-shirt, de mettre mes chaussures et je suis parti. Je cours, traverse les rues à toute vitesse. J'arrive dans l'établissement. Les mêmes fenêtres, le même train, les mêmes automobiles. L'escalier est infini et j'ai l'impression de le sentir. Un bruit m'arrête, je me retourne, rien. Je continu jusqu'au bout. Je vois la porte du bureau entrouverte, mais plus personne. J'arrive trop tard. Je cours vers la salle où est censé se trouver mon homme.
Cet homme est devant cette porte immense. Je l'entend crier. Je cours le plus vite possible et lorsque je le vois sortir son arme, j'arrive prés d'eux. «Sang Hyeon ! ». Le coup de feu retentit, je me retrouve au sol. Des gens autour de moi.
T- Seungho !
Des larmes qui coulent sur ses joues, la panique inscrite sur son visage.
S- Je t'avais demandé de revenir …
T- Seungho accroche toi je t'en prie !
S- Je suis heureux d'être arrivé à temps …
T- Tiens le coup ! Ça va aller ! Reste avec moi je t'en prie !
S- Je ne tiendrais pas … c'est fini …
T- Accroche toi mon amour …
S- Bon anniversaire … je t'aime …
Je vois son visage en pleure, me suppliant de rester éveillé. Et là, plus rien.
Je me réveille, je n'ai rien. Je suis dans mon lit. Il me regarde en souriant. Je regarde le réveil, 7 octobre, 10h12.
S- Je suis mort ?
T- Mais non mon ange.
S- Tu n'es pas au travail ?
T- Tu m'as dit de ne pas y aller, je suis rentré.
S- Je te l'ai dit ?
T- Dans ton sommeil, tu me l'as crié on peut dire. Je me suis dit, après tout en ce moment c'est le désert au boulot alors j'ai appelé mon patron et j'ai fait le malade.
S- J'y ai cru … j'ai cru que j'étais mort … c'était qu'un cauchemars...
T- Oublie ca, je vais faire le petit déjeuner.
S- Bon anniversaire mon chéri
T- Merci mon ange.
Son téléphone sonne. Il décroche.
T- Allo … quoi ?! … d'accord … merci.
Il raccroche d'un air choqué.
S- Qu'est ce qui se passe ?
T- Un de mes collègue s'est fait tiere dessus au boulot … il est dans un état critique.
S- Oh non … alors ca s'est vraiment passé …
T- Tu avais vu ca ?
Je lui explique mon cauchemars en détail, il reste sans voix.
S- Merci d'être resté …
T- C'est grâce à toi.
S- Je suis désolé … pour ton collègue.
T- C'est pas ta faute. Ça aurait pu être moi.
S- Si je fais des rêves comme ca tout le temps … je vais devenir dingue.
T- Je serais là ne t'inquiète pas mon petit cœur.
Et là, plus rien.
Je me réveille, seul, dans mon lit. Le réveil affiche le 7 octobre, 11h07. La panique, je sors de la chambre, me dirige vers la porte et réalise … 11h07 … Je prend mon portable et l'appelle. J'entends la sonnerie de son portable dans l'appartement. Je cherche. Ça vient de la salle de bain, j'entre.
Il est là, en serviette, devant le miroir, entrain de se pouponner.
T- Crois tu que je vais te répondre alors qu'on est dans le même appartement ?
S- Tu … tu n'es pas au travail ?
T- On est dimanche mon ange, l'agence est fermée.
S- Je vais devenir dingue …
T- Qu'est ce qui se passe ?
S- C'est compliqué.
T- Hum … viens faire un câlin.
Je me colle contre lui, soulagé. Il m'embrasse tendrement. Le contact me rend heureux, peut être que ce cauchemars m'a ouvert les yeux. Je l'aime plus encore que je ne pourrais penser.
S- Tu n'as pas reçu d'appel ce matin alors ?
T- Non.
S- Tu ne m'as pas entendu parler dans mon sommeil ?
T- Non plus.
S- Aish, tout va bien.
T- Ben oui, en plus regarde je suis tout beau.
S- Oui, ca comme toujours.
T- Oh c'est mignon !
S- Joyeux anniversaire mon chéri.
T- Merci mon ange.
Alors tout ca n'était qu'un rêve … tout était faux, tout va bien. L'espace d'un moment j'ai cru devenir fou. Mais tout va bien, je reste avec mon homme, je suis soulagé.
~Fin.
Cecillle- Messages : 24
Date d'inscription : 17/06/2011
Age : 31
Re: Poémes et art littéraires
Sympa...mais j'aime pas quand ça se finit bien >< Je veux du sang et des tripes!...Ahem :p
Je me permet de vous montrer les deux premiers chapitre de mon recueil de poème "Recueil pour l'apaisement"
Je me permet de vous montrer les deux premiers chapitre de mon recueil de poème "Recueil pour l'apaisement"
- Spoiler:
- Poème premier: Ouverture
Les lumières du théâtre se lèvent
L'angoisse des parents,les pleurs d'enfants
Nous sommes aux premières loges des rêves
Au premières loges dés a présent
Les archets se tiennent sur les violons
Les musiciens sont prêts a démarrer
Le chef d'orchestre devrait pas tarder
L'on vérifie qu'on est sur le bon ton
Les sièges sont de bois peu confortable
Mais cela reste les meilleures places
La colère n'as rien de regrettable
La foule se déplace donc en masse
Le stress monte malgré le peu de colère
Car c'est l'unique représentation
Qui se terminera par l'ovation
De cet univers de sang et de chaire
Tout le monde s'est installé,assis
Le théâtre va commencer enfin
Le rideau s'ouvrira jusqu'à la fin
Et nous sommes ceux qui sont ébahis
Profitons encore de ce grand spectacle
Qui n'a pas l'air de vouloir se finir.
- Spoiler:
- Poéme second:
Beauté aveuglante
Tout commence dans nos vies éhontés
Même si je suis peu pour les commenter
Nous n'arrivons même pas a la chaleur
Oui,la chaleur humaine qui ne meurt
Par des mains de leurs grands prédécesseurs
Puisse cela être aucune frayeur
L'histoire d'une jeune fille frêle
Nous amènes à la grande tristesse
Quand au tout début son amant la gèle
Laissant échapper un chant d'allégresse
Sa bouche carmin est incandescente
Semble t'embrasser d'une façon lente
Son amant nous avoue ses vérités
Et qu'il n'avait aucunement de pitié
Envers cette femme qu'il a adoré
Et attendrait avant de la manger
De la dévorer en face de nous
Qui nous regarde de ses yeux de loups
Son âme est si noir que ses yeux le sont
Rien qu'à sa voix,ne serais-ce qu'au son
Ses larmes ont l'air bien plus sombre d'ailleurs
Remontent le temps du sable qu'est l'heure
Lui rappelant tous ses derniers instants
Finit par sourire,tout en s'en allant
Odieux pervers et manipulateur
Dont la mort serais un jugement doux
Dés lors il se repose dans le houx
Se pensant puissant mais est amateur
Amateur d'une vie qu'il ne connais
D'un amour qu'il a pourri a jamais
Puisse-t-il dans d'horrible souffrance
Mais laissons le troisième personnage
Nous témoigner son vécu,son adage
Re: Poémes et art littéraires
Waw pas mal ce que tu ecris ^^
N'aime pas quand ca fini bien ... *fouille dans ses écrits*
Tadam ! (sur plus d'une soixantaine de textes c'est tout ce que j'ai écrit qui finit mal ... pour l'instant ^^)
N'aime pas quand ca fini bien ... *fouille dans ses écrits*
Tadam ! (sur plus d'une soixantaine de textes c'est tout ce que j'ai écrit qui finit mal ... pour l'instant ^^)
- Spoiler:
- Tu allais mal, très mal. Ça me faisait mal, très mal. Mon meilleur ami que j'aimais bien plus qu'un simple ami. Tu avais perdu toute raison de vivre. Tu ne mangeais presque plus, je devais te forcer. Tu n'avais envie de rien, pas de sortie, aucun loisir, là aussi je devais te forcer. Je devais savoir ce qui n'allait pas...
J'ai enquêté, je t'ai suivi. Dans cette ruelle, cet homme ... Tu semblais si effrayé. J'ai compris ce qui se passait au moment même où je l'ai vu te menacer de son couteau, te prendre tout ce que tu avais et t'emmener dans cet hôtel. C'était donc ca ... c'est lui qui te faisait perdre toute ta joie de vivre d'autrefois ? Mais qui était il ? Pourquoi toi ? Depuis combien de temps ? Je n'aurais jamais la réponse.
Sans réfléchir j'y suis entré. La vue me mit dans une colère folle. J'ai pris ce couteau, je t'ai entendu crier «DongWoon non !» Et je l'ai tué ...
Tu aurais pu me dire n'importe quoi ca n'aurait rien changé.
Ne m'en veut pas JunHyung ... Tu es libre maintenant non ? Libre de vivre comme avant ...
Tu retrouveras ta joie de vivre n'est ce pas ? Je te retrouverais à ma sortie et on retournera comme avant n'est ce pas ? Je t'en prie attend moi ... Retrouve ce sourire d'avant, respire ...
Je t'aime ... et ca pour toujours.
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Je vais bientôt sortir. Encore quelques jours et je serais à côté de toi. Tu n'as pas répondu à mes lettres, tu m'en veux vraiment ? Ou peut être ne les as tu pas reçues ? Tu n'as pas déménagé j'espère …
Tu as rencontré quelqu'un peut être ? Tu n'es pas resté seul toutes ces années quand même ?
Tu me manques tellement, je veux être avec toi, je veux te voir.
Tu as changé depuis le temps ? Je suis pressé de te revoir …
C'est le grand jour, je sors. Je viens te voir bientôt. Le temps de trouver un bus et je te retrouverais.
Je suis devant la porte. A quoi ressembles tu maintenant ? Je tremble, j'ai tellement hâte de te voir. Pourvu que tu me pardonnes...
Qui est cet homme qui me répond ? Où es- tu ? La maison est a eux depuis plusieurs années … elle a été vendue ? Pourquoi ?
Je pars me renseigner sur internet dans un cyber café pour te retrouver.
Yong Jun Hyung, décédé il y a 5 ans, retrouvé chez lui, mort, une boite de somnifères vide à la main.
Non ! Non ce n'est pas possible … Qu'est ce que tu as fait ? Pourquoi ?
Je me suis retrouvé en prison pour que tu puisse essayer de vivre normalement et tu ne m'as même pas attendu ?
Qu'est ce qui s'est passé ? C'était tellement dur à supporter ou t'en voulais tu pour ca ? Je ne le saurais jamais …
J'étais tellement heureux de pouvoir te revoir … j'y ai tellement cru … Je t'aime tellement JunHyung …
Que vais je faire maintenant ? Aurais-je la force de vivre alors que ce qui me tenait en vie était le fait de te retrouver ? …
~ Fin
- Spoiler:
- Je l'ai tué ... j'ai tué l'homme que j'aime. Tout allait bien, nous étions heureux.
Mais ce jour là, une crise de jalousie ... encore. « Où étais-tu hier soir ? ».
Qu'est ce que tu faisait ? Où étais tu ? Avec qui ? Maintenant je m'en fiche, je donnerais tout pour que tu reviennes ...
Les cris dans la maison « Arrête un peu avec ta jalousie ! » mes réponses sur la même voie ...
Tu t'es retourné «Eli ! Tu m'énerves !» et là, ce putain d'escalier !
Tu as raté cette marche qui t'a fait rater les autre ...
«SooHyun !» Je n'ai rien pu faire, pas eu le temps de te rattraper. Le temps de descendre les escaliers, il était déjà trop tard ...
Mon Dieu j'ai tué celui pour qui je vivais ....
Je voudrais te retrouver, mais je n'en ai pas le courage. Peut être trouverais je le courage d'en finir ... peut être que le chagrin, la culpabilité et la solitude finiront par me tuer naturellement.
Assis sur le sol, tenant ta main froide, penché sur ton corps sans vie ...
Je suis là, ne pouvant retenir mes larmes, hurlant ton prénom, te suppliant de m'attendre. Attend moi SooHyun ... j'attends mon tour, j'arrive mon amour ...
~fin
- Spoiler:
- Quand je t'ai rencontré, tu n'étais qu'un drogué solitaire. Ce jour là, tu étais en manque. Tu gémissais sur le seuil de l'église, claquant des dents sous le froid d'hiver. En cette période de noël, un garçon si jeune, dans un tel état ...
Ce jour là, je t'ai récupéré, amené chez moi, conscient que tu auras pu être dangereux dans cet état. Mais peu importe, je ne t'aurais pas laissé dehors dans ce froid. Tu avais ta carte d'identité, Choi MinHo ... Une adresse et un nom à chercher dans l'annuaire, une femme en colère qui raccroche après avoir dit qu'elle ne voulait plus entendre parler de toi. Était-ce à cause d'elle que tu te droguais ? Ou alors à cause de la drogue qu'elle ne voulait plus te voir ?
On a fait connaissance ... tu étais si doux, si gentil ... On était si bien tout les deux jusqu'au jour où tu as replongé. Tu disais que ca irait, que tu finirais par arrêter définitivement. Tu disais «JongHyun, fais moi confiance». Je l'ai fait, et je l'ai regretté, le jour où cette saleté t'a tué ...
La solitude m'a rattrapé, sans toi je retrouvais ma vie d'avant, triste et ennuyeuse. J'ai voulu savoir ce que ca te faisait alors j'ai essayé. J'ai compris ce que c'était la dépendance ... Maitenant que ca me tient, je n'attend qu'une chose : Que cette saleté me tue comme elle l'a fait pour toi. J'arrive, cette saleté va finir par me tuer pour que je puisse enfin te retrouver ...
~fin~
Cecillle- Messages : 24
Date d'inscription : 17/06/2011
Age : 31
Re: Poémes et art littéraires
J'aime beaucoup ton dernier texte, c'est exactement ce que j'aime,la mort par le vice...c'est la où l'horreur sort vraiment,j'ai écris une toute petite nouvelle aussi attends je vais regarder ...
Bon par contre c'est un texte assez récent donc j'ai eu la flemme de corriger toutes les fautes ><
Bon par contre c'est un texte assez récent donc j'ai eu la flemme de corriger toutes les fautes ><
- Spoiler:
- Victime
Je passai par cette ruelle que je connaissais si bien...ce restaurant dont les effluves me remontaient jusqu'aux narines et me donnait ce coté rassurant,je rentrai a la maison. Le vent soufflait dans mes longs cheveux et caressait ma joue doucement comme la main d'une amante juste après avoir fait l'amour. Je marchai fièrement et droit devant moi,la tête haute,je m sentait bien,c'était rare pourtant dans se sentir comme ça,bien juste en marchant dans une rue qu'on aime bien, cette jolie rue. Il est 20h passé,les gens se bousculent pour aller soit au concert deux quartier plus loin,soit pour aller dans "ce restaurant ou il faut réserver deux mois a l'avance" ou encore pour fumer discrètement un peu de cannabis ou encore pour ramener une fille de joie dans son appartement et lui donner du travail. Je me sentais a victime de ces personnes,je me sentais assailli de leurs pensée dont j'en ai demandé aucun compte. Je me sentais juste bien,pourquoi tant de précipitation,le monde ne mourra pas demain,moi je veux prendre mon temps avant tout...je voulais en tout cas...
Après m'être fait bousculé pour la 25ème fois,je sors enfin de la rue et je me dirige vers la maison,enfin,l'appartement,on peux pas dire qu'avec un salaire de serveur on peux se payer une maison,ou alors il faudrait avoir tué ses parents et récolter l'héritage...Mais faudrait en avoir sacrément envie de cette maison !...Je m'égare... Donc je passai parmi la foule grandissante de cette ville monstrueuse aux dents acérés et assoiffées de sang, les vampires de la finance ne se cachent pas qu'ils se régalent de ce festin par ailleurs. Un batteur de jazz fait ses exercices au fond d'une rue, on m'a dit qu'il s'appelait Jules et qu'il avait 22 ans... Mais bon, les commères n'ont pas de valeurs dans la rue des vérités. J'arrive devant chez moi,le tumulte et le vacarme de ce raz-de-marrée de cette foule infatigable derrière moi. Pourquoi autant de monde d'ailleurs? Ce n'était pas les Who qui se produisait ce soir pourtant,c'était un petit groupe local. Et même si ils marchent bien, aucune raison qu'il y a autant de policier et de personnes apeurés d'être en retard.
Le même geste mécaniques,le jeté professionnel du manteau,seule activité de la journée qui puisse se rapprocher a un sport avec le slip-basket. Je prends mon téléphone et le l'ouvre...en fond d'écran,la femme que j'ai toujours aimé...mais qui m'as été arraché...Pas de messages,ni même de mail...Quel journée calme. Les mots s'envolent dans l'air tel les pas d'une souris sur un piano,ou les notes s'envolent pour se loger dans notre imagination et nous faire fantasmer sur un monde d'art et de musique ou le monde serait idyllique sans violence. Ces notes investissent notre âme,mais dans le cœur des hommes,ils désirent les chasser,car elles représentent une menace pour leurs corruption,leurs incessante corruption,leurs dégoutante corruption,leurs précieuse corruption,leurs haine de corruption,leurs destruction de corruption,leurs luxure de corruption,LEURS corruption,mais faite pour être étalée au niveau de tout les hommes,femmes,enfants de cette planète,on en arrive a faire des salon de beauté pour les hommes,et même pour les animaux... Ils lèchent le fruit de la passion,nous faisant croire qu'ils l'ont croqués aussi,alors tout les autres dans une société de croyant croquent dans cette pomme juteuse,juteuse de désirs et de peine futures...
...Au moins elle a bon goût...
..Au départ...
J'enlevais mes chaussure et écouta un peu de musique,détendu sur mon canapé. J'entais les démons hurler dans mon esprits,ces démons enfermés qui hurlent leurs innocence de leur soif de sang. Leurs croc couvert de sang prouvent leurs innocence...pourquoi ne pas les relâcher...leurs cris cacophoniques et dissonant sont agréables a écouter...La douleur n'est qu'une étape après tout...La douleur doit faire un pas après tout...C'est ex qui te tendent la pomme,mais ils ne la fabrique pas....C'est de ta faute si tu a croqué dans cette pomme,tu n'avais qu'à pas les écouter,c'est si simple,mais tellement difficile pour l'esprit,ce qui est stupide car le corps est supérieur a l'esprit...
Qu'ais-je dis? Le corps est supérieur a l'esprit?....
Peut-être....
Je ne sais pas...
Je tire la couverture a mon nez,respirant doucement...et comme tout les soirs...Son visage m'apparait sur le plafond blanc de ma chambre....Je verse une larme,elle un sourire qui se dépose dans ma joue....j'ai tellement l'impression de la sentir que mon poil s'hérrisse...comme un chatouillement...
Je sais ce qui s'est passé...
Ce soir.
J'ai tué.
Re: Poémes et art littéraires
Waw c'est beau *-* enfin ... déprimant mais beau ^^
Cecillle- Messages : 24
Date d'inscription : 17/06/2011
Age : 31
Re: Poémes et art littéraires
est-ce que tu écoutes de la musique quand tu écris? ça inspire énormément et ça t'aide a t'écrire dans le sens que tu veux...alors si t'écoutes tears in heaven,stairway to heaven et nothing else matters tu peux écrire que des trucs dépressifs :p (j'écoute plus des trucs néo-classique et progressif mais ça reste de sublimes musiques). En tout cas,si tu n'as pas essayé,je te conseille vivement. ^^
Re: Poémes et art littéraires
Ca va , j'avais un peu peur de lire t'es histoire Cecille après ce que tu m'a dit , mais j'ai bien aimé ! quand à firiadel pas du tout choqué par ta créativité , toujours su que tu roxé ! (mais t'assure vraiment ;p !)
Re: Poémes et art littéraires
Merci merci
Non j'écris la nuit ou en cours donc je ne peux pas écouter de musique xD
Non j'écris la nuit ou en cours donc je ne peux pas écouter de musique xD
Cecillle- Messages : 24
Date d'inscription : 17/06/2011
Age : 31
Re: Poémes et art littéraires
Par contre , je suis entièrement d'accord avec Firiadel Grey , la musique sa motive et sa inspire beaucoup.
Re: Poémes et art littéraires
Le vent s’abat tout autour de moi,les chiens de l'enfer hurlent tels les loups qui seraient en agonie face aux lances de l'apocalypse. Les débris qui s'envolent semblent m’éviter,car quand bien même ils sont eux même mortels,ils semblent s'enfuir face a ma présence,ma présence qui ne connais aucune limite ni aucune crainte,e suis le golem d'acier que rien n'arrête,je suis conçu par l'homme et je ne connais pas de fin,je suis le gardien éternel de la planète et de la sauvegarde de toute vie sur terre. Les éléments se déchaînent tout autour de moi,l'espoir réside pourtant.
La terre se brise sous mes pas,cette terre autrefois fertiles,que les herbes poussait comme la bêtise de l'homme lui naît a 7 ans... mais aujourd'hui,la terre a faim et elle se nourris que de racines avariés,prête donc a se nourrir d'elle même,mais a force elle ne restera même plus de corps pour tenir cette bouche énorme qui a faim....Moi le géant d'acier je sais remédier a ce problème....Je prends quelques millier d'humains qui ont pourris cette terre pour les sacrifier, et permettre a la terre de se nourrir..la terre deviendra d'une couleur grenat,poreuse et peu fertilisable,mais le géant d'acier a permis la sauvegarde de la terre et de l'humanité,en sacrifiant un peu des deux.
Ainsi je continuais mon chemin,moi,ce géant d'acier,les pleurs des veuves m'injuriant,les douleurs de la terre me suppliant...
L'eau...la chose la plus pure sur cette planète ,permettant toute vie,ce pouvoir unique maintenant se dessèche,et ne laisse plus aucune option pour la vie sauf de mourir. Elle est brûlante tels les fleuves de lave du pandémonium.,elle est morte comme le deviens l'espoir des hommes. Le géant d'acier lui trouva la solution a ce problème...il prit des millions d'hommes et les pressa sur cette eau....L'homme ayant de l'eau en lui,permis a l'eau elle même de retrouver ses propriété..;elle n'est pas rafraîchissante mais pourra redonner la vie si on lui donne l'occasion,et il reste encore beaucoup d'homme pour pouvoir en profiter...
Ma route était parsemée d'embûche,ceux que je veux préserver de la catastrophe se rebellent contre moi pour m’anéantir...Je ne comprends pas leurs réaction...certes j'ai tué des leurs,mais ils devraient m'être reconnaissant de ne pas les avoir choisi....
Alors avant que je puisse restaurer la terre,j'ai du combattre ceux que je protégeait,pensant que c'était une malade,une maladie des plus grave et qu'il fallait que je l'extermine le plus vite possible. Ainsi je commença a tuer un par un ceux qui m'attaquait,et j’essayai de comprendre pourquoi se rebeller contre moi,alors j'en interrogea un,qui me répondit que j'étais un monstre,et que j'étais la plus grande erreur de l'humanité,prétendre les protéger pour mieux les exterminer ce n'est qu'une ruse digne du plus grand des démons...
Sous la force de ma poigne,je l'écrasa,hurla de toute mes force pour désapprouver les dires ed ce misérable humain...bien qui l'humain soit stupide et ignare,comment pouvais t-il être crétin au point de m'attaquer,je suis souverain par rapport a eux et mon pouvoir est régent de leurs incompétence et de leurs faiblesse,je ne peux pas me permettre de les laisser vivre,ainsi j'en tua des milliard pour que la folie ne se répandent pas...malgré la poignée restante,il reste de quoi faire vivre une population entière...
(-18 ans)
Ainsi,le géant d'acier se trouve face a l’œil de ce cyclone, ce cyclone qui avait le mal en lui,la mère nature semblait avoir fécondé ce mal,pourquoi elle aussi se rebellait contre lui ?
Alors le géant d'acier trouva une idée...
Il mangea le reste des hommes pour se sentir plus fort et détruisit la mère nature et le mal en elle...la terre ne sut supporter ce choc...
Les chiens de l'apocalypse hurlaient encore et encore...
L'homme ne mérite pas d'être sauvé,il se conduirait a sa propre perte...
Le géant d'acier mourra de solitude,et lorsque l’espoir survivait,il n'arriva qu'une fois...
Le peu d'éléments qui restait sur cette planète,malgré la lave qui sautait de part,l'air mort et l'eau tarie,les éléments qui résidait dans l'univers décida de donner une dernière chance a cette planète...et ainsi,sur la main de son exécuteur,les dieux avaient décidé de faire naître une fleur...La terre va enfin renaître,la vie va reprendre,le ciel semble déjà reprendre son teint bleu lumineux,,la graine semble déjà pousser follement et donnera des fruits,et ainsi la planète survivra....
Sous l'oeil rouge du géant d'acier,
La main de la tristesse se referma sur l'espoir.
Bon,j'ai quand même mit la partie sous moins de 18 ans tel quel parce que...j'me suis dit que ça pourrais choquer.Bref pour l'histoire,rien d'écolo, juste un écrit sur la solitude et "l'amitié".
Enjoy
La terre se brise sous mes pas,cette terre autrefois fertiles,que les herbes poussait comme la bêtise de l'homme lui naît a 7 ans... mais aujourd'hui,la terre a faim et elle se nourris que de racines avariés,prête donc a se nourrir d'elle même,mais a force elle ne restera même plus de corps pour tenir cette bouche énorme qui a faim....Moi le géant d'acier je sais remédier a ce problème....Je prends quelques millier d'humains qui ont pourris cette terre pour les sacrifier, et permettre a la terre de se nourrir..la terre deviendra d'une couleur grenat,poreuse et peu fertilisable,mais le géant d'acier a permis la sauvegarde de la terre et de l'humanité,en sacrifiant un peu des deux.
Ainsi je continuais mon chemin,moi,ce géant d'acier,les pleurs des veuves m'injuriant,les douleurs de la terre me suppliant...
L'eau...la chose la plus pure sur cette planète ,permettant toute vie,ce pouvoir unique maintenant se dessèche,et ne laisse plus aucune option pour la vie sauf de mourir. Elle est brûlante tels les fleuves de lave du pandémonium.,elle est morte comme le deviens l'espoir des hommes. Le géant d'acier lui trouva la solution a ce problème...il prit des millions d'hommes et les pressa sur cette eau....L'homme ayant de l'eau en lui,permis a l'eau elle même de retrouver ses propriété..;elle n'est pas rafraîchissante mais pourra redonner la vie si on lui donne l'occasion,et il reste encore beaucoup d'homme pour pouvoir en profiter...
Ma route était parsemée d'embûche,ceux que je veux préserver de la catastrophe se rebellent contre moi pour m’anéantir...Je ne comprends pas leurs réaction...certes j'ai tué des leurs,mais ils devraient m'être reconnaissant de ne pas les avoir choisi....
Alors avant que je puisse restaurer la terre,j'ai du combattre ceux que je protégeait,pensant que c'était une malade,une maladie des plus grave et qu'il fallait que je l'extermine le plus vite possible. Ainsi je commença a tuer un par un ceux qui m'attaquait,et j’essayai de comprendre pourquoi se rebeller contre moi,alors j'en interrogea un,qui me répondit que j'étais un monstre,et que j'étais la plus grande erreur de l'humanité,prétendre les protéger pour mieux les exterminer ce n'est qu'une ruse digne du plus grand des démons...
Sous la force de ma poigne,je l'écrasa,hurla de toute mes force pour désapprouver les dires ed ce misérable humain...bien qui l'humain soit stupide et ignare,comment pouvais t-il être crétin au point de m'attaquer,je suis souverain par rapport a eux et mon pouvoir est régent de leurs incompétence et de leurs faiblesse,je ne peux pas me permettre de les laisser vivre,ainsi j'en tua des milliard pour que la folie ne se répandent pas...malgré la poignée restante,il reste de quoi faire vivre une population entière...
(-18 ans)
- Spoiler:
Malheureusement il ne restait que des femmes...plus aucun homme pour permettre la fécondation...
Mais le géant d'acier avait une idée. Il devait lui même s'apprêter a féconder la population de la planète,a lui tout seul,alors il viola toute les femmes restant de la planète,explosant leurs organes internes,prendre ce qu'était la noblesse et la beauté de l'homme et l'assouvir comme une esclave sexuelle et ainsi,permettre au géant d'acier de reproduire la population...une centaine de milliards d'enfant naîtrons,toutes les mères mourrons...
Ainsi,le géant d'acier se trouve face a l’œil de ce cyclone, ce cyclone qui avait le mal en lui,la mère nature semblait avoir fécondé ce mal,pourquoi elle aussi se rebellait contre lui ?
Alors le géant d'acier trouva une idée...
Il mangea le reste des hommes pour se sentir plus fort et détruisit la mère nature et le mal en elle...la terre ne sut supporter ce choc...
Les chiens de l'apocalypse hurlaient encore et encore...
L'homme ne mérite pas d'être sauvé,il se conduirait a sa propre perte...
Le géant d'acier mourra de solitude,et lorsque l’espoir survivait,il n'arriva qu'une fois...
Le peu d'éléments qui restait sur cette planète,malgré la lave qui sautait de part,l'air mort et l'eau tarie,les éléments qui résidait dans l'univers décida de donner une dernière chance a cette planète...et ainsi,sur la main de son exécuteur,les dieux avaient décidé de faire naître une fleur...La terre va enfin renaître,la vie va reprendre,le ciel semble déjà reprendre son teint bleu lumineux,,la graine semble déjà pousser follement et donnera des fruits,et ainsi la planète survivra....
Sous l'oeil rouge du géant d'acier,
La main de la tristesse se referma sur l'espoir.
Bon,j'ai quand même mit la partie sous moins de 18 ans tel quel parce que...j'me suis dit que ça pourrais choquer.Bref pour l'histoire,rien d'écolo, juste un écrit sur la solitude et "l'amitié".
Enjoy
Re: Poémes et art littéraires
Firi, t'es rien qu'un gros cachotier. Tu m'avais même pas dit que tu faisais de la poésie. En plus, j'aime bien la première (on sent d'où vient l'inspiration, là, pour le coup). Je trouve que le rythme est un peu saccadé, mais après, on te reconnait bien là-dedans... Et puis c'est du poème, pas de la chanson, après tout.
Je relance le sujet en postant la chanson que je viens de finir :p
Critiques appréciées :p
Je relance le sujet en postant la chanson que je viens de finir :p
- Spoiler:
- Par un beau soir d'été,
Un grand palais sauvage,
Saignant sous un soleil blessé,
Riait fort de l'outrage.
Sa majesté le chêne
Trônait en souverain,
Son compagnon le frêne
Profitait du festin.
Ah ah !
Fête de lumière,
Orgie de couleurs,
La suite royale sur la terre
Faisait battre les cœurs.
Primevères et pensées,
Coquelicots et colchiques,
Dansaient sous l'amandier
Dans un luxe anarchique.
Ah...
Une brise tiède passe,
Caresse les herbes folles,
C'est l'astre celest' qui trépasse,
Crépuscul' de l'idole.
Une douce poésie,
Chantée par le silence,
Sans un mot, sans un cri,
Toute la campagne en transe...
Mmh...
Un parfum de luxure,
Glissant d'un tas d'épines,
Corrompt un air un peu trop pur
D'une odeur de résine.
Ainsi rêvait un gars
Malgré son regard vide,
La lourdeur de son pas,
Et son esprit aride.
Refrain : 'Faut dire que tu passais
Sur l'agora,
La foule y fait un bloc épais
Tu oublies que t'es libre
Sur l'agora,
Tu penses qu'à l'équilibre
Tu t'empêche de crier
Sur l'agora
Trop peur d'être jugé,
Jugé par qui, par qui ?
Ce jour là dans Paris,
Le soleil se couchait,
Mais de Neuilly à St Denis,
Nul homme n'y songeait.
Chacun son univers,
Et sa ligne de métro,
Bien caché sous la terre,
Une vie en placebo.
Bon sang !
Les murs sont sales et gris,
Les yeux des hommes éteints,
Où est-elle donc partie, la vie ?
Elle se sentait pas bien ?
Un pack de kro le soir,
Un rail de coke la nuit,
Cette fête est sans espoir,
Et cette orgie s'ennuie...
Pourquoi ?
Le feu rouge passe au vert,
Le bruit ébranle les têtes,
De quoi faire de Jupiter
Un fracas d'opérette !
Le silence est un mythe,
Le crépuscule un conte,
Sans cesse les corps s'agitent,
Oublient la lune qui monte.
Assez !
De cette agitation,
Qui sent la mort qui danse,
De cet étrange nid de frelons
Rempli d'indifférence !
Ami, comment fais-tu,
Pour sauver ton bon cœur ?
Tu es pourtant battu,
Laissé mort, sans ardeur...
Refrain
L'âme du troubadour,
Domestique ou sauvage,
S'il vit dans un lieu sans amour,
Finit par prendre ombrage,
Mais au fond du grand rien,
Tout au fond du malheur,
Réside un drôle de chien,
Qui veut croire au bonheur.
Mon frère !
De cette petite lumière,
D'un germe de passion,
Peut renaître une belle clairière,
Et un grand horizon,
Avec un ciel de sang,
Et des saules mordorés,
Un tas de cerfs bramant,
La fin de la journée !
Encore !
Un vol d'oiseaux furtif,
Perdu dans le lointain,
Appelle ton esprit captif
A s'envoler au loin.
Tu lèves des yeux inquiets
Vers la brume de Paris,
Vers ces nuages épais,
Au diab' cette infamie !
Enfin !
Des ailes te poussent au dos,
Un feu te brûle le cœur,
Tu craches sur tous ces bourreaux,
Tu hurles avec chaleur !
Un cri libérateur
A transpercé la nuit,
Les hommes-machines ont peur,
Ils parlent de folie...
[transition]
Plus personne sur la place,
Seulement quelques badauds,
Marionnettes de glace,
Qui parlent d'hôpitaux.
Mais pourtant t'es pas fou,
T'avais juste un trop-plein,
D'angoisse, de peine, de boue,
Quelque chose de malsain.
Pas l'hôpital, pas l'hôpital !
La mère de Monsieur Charles,
Ils l'ont bien enfermée,
Elle disait : « qu'on me parle ! »
Et ils l'ont bâillonnée,
Que veux -tu bien qu'ils fassent,
D'elle, de toi, de moi,
Nous prenons trop d'espace,
Nous sommes des hors-là-loi !
Critiques appréciées :p
Sören Hurlevent- Messages : 33
Date d'inscription : 16/09/2011
Re: Poémes et art littéraires
Je cachote si je veux et de plus toi tu fais des textes ou j'entends trop une mélodie de Rhapsody Of Fire avec des flutes et des tambourins, donc voilà na :-p
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